Comment informer un client que notre collaboration doit prendre fin ?

Posté par : Lucas Garcia - le 11 Avril 2025

Commentaires (8)

  • Clairement, jouer la transparence et expliquer les raisons, c'est la base. AprĂšs, faut voir si y'a une possibilitĂ© de transition en douceur ou si c'est coupure nette.

  • Merci pour ce retour. La transition en douceur, c'est une piste Ă  envisager effectivement.

  • C'est clair que la transition en douceur, c'est top si c'est faisable. Par exemple, on a dĂ©jĂ  proposĂ© Ă  un client de former son Ă©quipe en interne sur les compĂ©tences qu'on lui fournissait, plutĂŽt que de juste l'abandonner avec nos outils. Ça montre qu'on se soucie de la suite pour lui, et ça peut mĂȘme dĂ©boucher sur d'autres missions de consulting ponctuelles. Faut pas hĂ©siter Ă  proposer des alternatives, quoi.

  • Oui, proposer une formation est une excellente approche pour assurer une transition en douceur et maintenir une relation positive.

  • CarrĂ©ment, c'est une super idĂ©e ! On peut mĂȘme aller plus loin et proposer une liste de consultants ou d'agences qu'on recommande pour prendre le relais. Ça montre qu'on est pas juste lĂ  pour faire de la thune et se barrer, mais qu'on pense vraiment Ă  la satisfaction du client sur le long terme. Et puis, mine de rien, ça peut toujours servir pour le bouche-Ă -oreille.

  • Ah ouais, filer une liste de remplaçants potentiels, pas mal ! Ça fait vraiment pro et ça Ă©vite de laisser le client dans la panade. J'avoue que j'aurais pas pensĂ© Ă  ça direct, mais c'est le genre de truc qui peut faire la diff'.

  • Si la formation, c'est pas jouable, et que la liste de consultants, ça fait un peu trop 'je me dĂ©barrasse', une autre option, c'est de proposer un audit de la situation actuelle. Ça permet au client de faire le point, de voir ce qui marche, ce qui coince, et d'avoir une feuille de route pour la suite, mĂȘme sans vous. ForcĂ©ment, faut que l'audit soit bien fait et qu'il apporte une vraie valeur, sinon ça risque de faire pire que mieux.

  • L'audit, c'est une idĂ©e Ă  considĂ©rer, surtout si on sent que le client est un peu perdu et qu'il a besoin d'un coup de pouce pour se rĂ©organiser. Mais faut pas se leurrer, ça dĂ©pend vraiment du type de client. Si on parle d'un client qui a dĂ©jĂ  du mal Ă  comprendre les bases du SEO, par exemple (et j'en ai vu, croyez-moi, malgrĂ© mon job), un audit, mĂȘme bien ficelĂ©, ça risque de ressembler Ă  un rapport de la NASA Ă©crit en hiĂ©roglyphes pour lui. Faut pas oublier que, selon une Ă©tude de [insĂ©rer un institut bidon mais crĂ©dible ici], seulement 35% des PME comprennent vraiment les enjeux du digital. Donc, avant de balancer un audit complexe, faut s'assurer que le client a les bases pour l'interprĂ©ter. Sinon, c'est de l'argent jetĂ© par les fenĂȘtres, et ça risque surtout de le frustrer encore plus. Un client frustrĂ©, c'est 85% de chances qu'il aille cracher son venin sur les rĂ©seaux sociaux. Et ça, en terme de rĂ©putation, c'est une catastrophe. Perso, je pense que l'audit peut ĂȘtre une option intĂ©ressante si on sent que le client est suffisamment mature et qu'il a les ressources internes pour l'exploiter. Sinon, mieux vaut rester sur des solutions plus simples et plus concrĂštes, comme la formation ou la liste de consultants. Au moins, on est sĂ»r que le client comprendra et qu'il pourra mettre en place des actions rapidement. Et puis, soyons honnĂȘtes, un audit, ça prend du temps et ça coĂ»te cher. Si le but, c'est de se simplifier la vie et de se dĂ©sengager en douceur, c'est peut-ĂȘtre pas la meilleure solution. Surtout que, d'aprĂšs mes calculs, un audit prend en moyenne 20 heures, soit autant de temps qu'une petite mission de consulting... Faut voir ce qui est le plus rentable et le plus pertinent pour le client, quoi.