Les certifications, c'est pas bête ! J'y avais pas forcément pensé.
Sinon, un truc qui marche bien pour moi, c'est de suivre des experts sur LinkedIn et de participer activement aux discussions. On chope pas mal d'infos comme ça, mine de rien. Et puis, on se fait un réseau au passage. Deux oiseaux, une pierre, quoi.
Et pour ceux qui aiment bien les challenges, y'a des compétitions en ligne de marketing digital qui peuvent être super formatrices. Ça permet de se mesurer à d'autres et de voir ce qui se fait de mieux. Faut aimer la compét', par contre !
Content que mes suggestions t'aient parlé Manini ! C'est vrai que l'influence, quand c'est bien fait et très ciblé, ça peut donner des résultats étonnants. Faut dire que le marketing digital, c'est un peu comme le découpage (mon hobby du moment, tiens !) : faut être précis, avoir le bon matériel et surtout, une bonne idée de ce qu'on veut faire.
Pour les certifs, ScoreA15 a raison, c'est un bon moyen de structurer ses connaissances. Moi, j'avoue que je les vois surtout comme un complément. Genre, ça te donne une base solide, mais après, faut la mettre en pratique et surtout, continuer à apprendre sur le terrain. Parce que les algo de Google ou Facebook, ils changent plus vite qu'un slip !
Et en parlant de terrain, je me demandais, Manini, cette étude de cas que t'as trouvée, elle portait sur quel type de produit ou service ? Et qu'est-ce qui t'as le plus bluffé dedans ? Juste par curiosité, hein. Histoire de voir si ça peut m'inspirer pour mes propres campagnes (bon, ok, et aussi un peu pour briller en société... faut bien l'avouer !). Parce que bon, rester à la pointe, c'est bien, mais impressionner les collègues, c'est mieux ! 😎
Djellouli46, carrément d'accord avec toi ! L'authenticité, c'est la base. On est tellement bombardés de pubs et de messages formatés qu'on finit par devenir allergiques au blabla.
Et puis, faut dire ce qui est, les gens ne sont pas dupes. Ils voient tout de suite quand on essaie de leur vendre du rêve avec des promesses bidon. C'est comme les politiciens qui font des discours enflammés avant les élections et qui oublient leurs promesses une fois élus. On a tous été déçus au moins une fois, et ça nous rend méfiants.
Dans mon boulot, en tant que responsable CRM, je vois bien que les clients sont de plus en plus exigeants sur la transparence et l'honnêteté. Ils veulent savoir à qui ils ont affaire, quelles sont les valeurs de l'entreprise, comment elle se comporte avec ses employés et avec l'environnement. Si on essaie de leur cacher des choses, ils le sentent tout de suite, et ils vont voir ailleurs. D'ailleurs, une étude de Label Insight a montré que 94% des consommateurs sont plus susceptibles d'être fidèles à une marque qui offre une transparence totale. Ça veut dire qu'il faut être prêt à tout montrer, même les aspects moins reluisants. C'est un peu risqué, mais au final, ça paye.
Alors pour une manif, c'est pareil. Faut pas hésiter à montrer les failles, les difficultés, les moments de doute. Faut raconter l'histoire telle qu'elle est, avec ses hauts et ses bas. Les gens se sentiront plus proches de la cause, et ils seront plus enclins à s'impliquer. Parce que au fond, ce qu'on cherche, c'est à créer du lien, à construire une communauté. On parlait de storytelling, mais il y a aussi l'aspect visuel, faire des photos, des vidéos, des interviews.
Et tu as raison de souligner l'importance d'adapter le message au public cible. Si on s'adresse à des jeunes, on va peut-être utiliser des codes différents, un langage plus direct, des références à la pop culture. Si on vise un public plus âgé, on va peut-être privilégier des arguments plus rationnels, des données chiffrées, des témoignages d'experts. Ce qui marche auprès des uns ne marche pas forcément auprès des autres.
Faut pas oublier que l'objectif, c'est de toucher les gens au cœur, de leur donner envie de se battre pour une cause qui les dépasse. C'est pas facile, mais c'est possible. Faut juste être sincère, authentique, et ne pas avoir peur de se montrer vulnérable. Et puis, faut se dire que même si on ne réussit pas à mobiliser les foules, on aura au moins essayé de faire bouger les choses. C'est déjà ça.
Bien vu pour le niveau de compréhension du client ! 👍 C'est clair qu'un audit pour un client paumé, c'est comme filer un manuel de fusée à un éleve de CP. 😂 Faut adapter le truc, sinon c'est le bad buzz assuré. 😱
Salut Lucas,
Pour ma part, ce qui a bien fonctionné, c'est de me spécialiser dans un créneau précis. Au début, j'essayais de toucher à tout pour choper le plus de clients possibles, mais au final, j'étais un peu le couteau suisse, et pas forcément le meilleur dans un domaine en particulier. En me concentrant sur une niche, je suis devenu plus visible et reconnu.
Et pour la prospection, au lieu de spammer tout le monde, j'essaie d'identifier les besoins spécifiques de mes prospects et de leur montrer comment je peux les aider concrètement. Ça demande plus de boulot en amont, mais le taux de conversion est bien meilleur. Bon courage !