C'est une question pertinente. Pour bien cerner l'impact, tu pourrais préciser le type d'équipes dont tu parles ? Par exemple, une équipe de développement web n'aura pas les mêmes besoins qu'une équipe marketing, et donc pas le même retour sur investissement des outils numériques.
Tout à fait, La Fauconne68. Je pensais surtout aux équipes qui travaillent sur des projets transversaux, avec des membres issus de différents services (marketing, commercial, technique...). Celles où la communication et la coordination sont primordiales. Mais ton point est excellent, il est vrai que l'impact peut varier selon la nature de l'équipe.
En parlant d'impact et d'outils... 🙄 J'ai maté une vidéo récemment sur le sujet, une interview de Stéphanie Lecerf (DRH France PageGroup) à propos d'une étude sur l'omniprésence des outils numériques et la fameuse frontière vie pro/vie perso. Je me demande si ça ne biaise pas un peu les résultats parfois... 🤔
On nous dit que c'est génial, mais est-ce qu'on mesure vraiment le stress supplémentaire ? 🤷
Bon, Harmonia28 soulève un point intéressant, et La Fauconne68 le complète bien. Mais Sarcastique... vidéo ou pas, la question du stress, c'est le serpent de mer de toutes les boîtes, non ?
Plus sérieusement, pour recentrer le truc sur la productivité (parce que c'est quand même ça le sujet initial, hein ?), je pense qu'il faut dézoomer un peu. On parle d'outils, mais souvent on oublie le plus important : l'adoption par les équipes. Tu peux filer le meilleur logiciel de gestion de projet du monde, si personne ne l'utilise correctement, t'es marron.
Et là, on touche à un autre truc : la formation. Combien d'entreprises investissent réellement dans la formation continue de leurs employés sur ces outils ? Pas assez, à mon avis. On balance un nouveau logiciel en mode "débrouillez-vous", et après on s'étonne que la productivité ne décolle pas. Faut pas se leurrer, y'a un coût caché, mais bien réel, à cette "non-formation".
Et puis, faut arrêter de penser que l'outil va résoudre tous les problèmes. Un outil, c'est juste un outil. Ça amplifie ce qui existe déjà. Si t'as une équipe mal organisée, l'outil va juste amplifier le chaos. Si t'as une équipe qui communique mal, l'outil va juste rendre la communication encore plus inefficace. Avant de blâmer l'outil, faut faire un état des lieux de l'organisation et des process.
Tiens, en parlant d'organisation, je suis tombé sur ce site https://www.facilitrs.com/ qui propose des solutions assez pointues pour optimiser les flux de travail. C'est peut-être un peu niche, mais ça peut donner des idées. Faut pas avoir peur de remettre en question sa façon de faire, même si ça implique de se séparer de certains outils qu'on utilise depuis des années. Perso, je pense qu'il n'existe pas de recette miracle et que ça peut varier d'un collaborateur à un autre.
En gros, pour moi, la productivité avec les outils numériques, c'est un peu comme un régime : ça marche si on change ses habitudes sur le long terme, pas si on se contente de prendre une pilule magique (ou d'installer un nouveau logiciel à la mode).
Antoine Saint-Prix a raison, la formation c'est le nerf de la guerre ! On a investi dans un super CRM il y a deux ans, un truc hyper complet, mais la moitié de l'équipe ne l'utilise qu'à 20% de ses capacités. Résultat : des rapports incomplets, des données éparpillées, et un ROI qui fait la tête. On a beau râler, si on ne prend pas le temps de former correctement les gens, on se tire une balle dans le pied.
L'histoire du CRM qui sert à moitié, Manini, je crois qu'on est nombreux à la connaître... Ca me rappelle le basson que j'ai acheté il y a quelques années, j'etais tellement enthousiaste, j'ai pris des cours... puis bon, la vie a fait que... Bref !
Pour revenir au sujet principal, je suis d'accord avec l'idée que l'adoption est primordiale. Un truc qui marche bien chez nous, c'est de désigner des "champions" outils, des personnes qui se forment à fond et qui deviennent les référents pour le reste de l'équipe. Ça crée une dynamique d'entraide et ça facilite l'apprentissage. Faut juste bien les choisir, les champions, sinon ça peut vite se transformer en enfer. 😉
Tout à fait d'accord Antoine Saint-Prix ! Faut pas juste balancer l'outil et espérer que ça fasse des miracles.
Par contre, champion... champion... ça me fait penser aux JO ! J'ai trop hâte, surtout pour les épreuves d'athlétisme. Enfin bref ! Revenons à nos moutons, comme on dit... L'histoire des champions outils, c'est une super idée, mais faut aussi que la direction suive et soutienne l'initiative, sinon ça ne prendra jamais. Faut que ça vienne d'en haut aussi, la volonté d'investir dans la formation.
Bon, si on récapitule, on est partis de l'impact des outils sur la productivité, puis on a parlé des différents types d'équipes, du stress potentiel lié à leur utilisation, et finalement on a convergé vers l'importance de la formation et de l'adoption par les utilisateurs. L'idée des "champions outils" a été également soulevée, tout comme la nécessité d'un soutien de la direction pour que tout ça fonctionne. Voilà voilà...
On dirait un compte-rendu de réunion, Antoine. Manque juste les actions à mener et les responsables. 🤣
Plus sérieusement, c'est bien de synthétiser, mais on oublie un truc essentiel : le ROI. On investit des sommes folles dans ces outils, mais combien d'entreprises mesurent réellement l'impact sur le chiffre d'affaires ? On a l'impression de gagner du temps, d'être plus efficaces, mais est-ce que ça se traduit concrètement en euros sonnants et trébuchants ?
Parce que bon, si on améliore la "communication" et la "collaboration" (les fameux buzzwords), mais qu'au final on ne vend pas plus, c'est un peu ballot, non ? Je dis ça, je dis rien... 🤔
Et puis, soyons honnêtes deux secondes, une partie non négligeable de ces outils, c'est du vent. On nous vend des solutions "innovantes" qui ne font que réinventer la roue. Le nombre de logiciels de gestion de projet qui proposent exactement les mêmes fonctionnalités, c'est juste hallucinant. Au final, on se retrouve avec une complexité accrue, sans bénéfice réel pour la productivité.
Et pendant ce temps, les fournisseurs se gavent. C'est un peu comme la ruée vers l'or : tout le monde se précipite, mais seuls les vendeurs de pelles et de pioches s'enrichissent vraiment. 💰
Commentaires (11)
C'est une question pertinente. Pour bien cerner l'impact, tu pourrais préciser le type d'équipes dont tu parles ? Par exemple, une équipe de développement web n'aura pas les mêmes besoins qu'une équipe marketing, et donc pas le même retour sur investissement des outils numériques.
Tout à fait, La Fauconne68. Je pensais surtout aux équipes qui travaillent sur des projets transversaux, avec des membres issus de différents services (marketing, commercial, technique...). Celles où la communication et la coordination sont primordiales. Mais ton point est excellent, il est vrai que l'impact peut varier selon la nature de l'équipe.
En parlant d'impact et d'outils... 🙄 J'ai maté une vidéo récemment sur le sujet, une interview de Stéphanie Lecerf (DRH France PageGroup) à propos d'une étude sur l'omniprésence des outils numériques et la fameuse frontière vie pro/vie perso. Je me demande si ça ne biaise pas un peu les résultats parfois... 🤔
On nous dit que c'est génial, mais est-ce qu'on mesure vraiment le stress supplémentaire ? 🤷
Bon, Harmonia28 soulève un point intéressant, et La Fauconne68 le complète bien. Mais Sarcastique... vidéo ou pas, la question du stress, c'est le serpent de mer de toutes les boîtes, non ? Plus sérieusement, pour recentrer le truc sur la productivité (parce que c'est quand même ça le sujet initial, hein ?), je pense qu'il faut dézoomer un peu. On parle d'outils, mais souvent on oublie le plus important : l'adoption par les équipes. Tu peux filer le meilleur logiciel de gestion de projet du monde, si personne ne l'utilise correctement, t'es marron. Et là, on touche à un autre truc : la formation. Combien d'entreprises investissent réellement dans la formation continue de leurs employés sur ces outils ? Pas assez, à mon avis. On balance un nouveau logiciel en mode "débrouillez-vous", et après on s'étonne que la productivité ne décolle pas. Faut pas se leurrer, y'a un coût caché, mais bien réel, à cette "non-formation". Et puis, faut arrêter de penser que l'outil va résoudre tous les problèmes. Un outil, c'est juste un outil. Ça amplifie ce qui existe déjà. Si t'as une équipe mal organisée, l'outil va juste amplifier le chaos. Si t'as une équipe qui communique mal, l'outil va juste rendre la communication encore plus inefficace. Avant de blâmer l'outil, faut faire un état des lieux de l'organisation et des process. Tiens, en parlant d'organisation, je suis tombé sur ce site https://www.facilitrs.com/ qui propose des solutions assez pointues pour optimiser les flux de travail. C'est peut-être un peu niche, mais ça peut donner des idées. Faut pas avoir peur de remettre en question sa façon de faire, même si ça implique de se séparer de certains outils qu'on utilise depuis des années. Perso, je pense qu'il n'existe pas de recette miracle et que ça peut varier d'un collaborateur à un autre. En gros, pour moi, la productivité avec les outils numériques, c'est un peu comme un régime : ça marche si on change ses habitudes sur le long terme, pas si on se contente de prendre une pilule magique (ou d'installer un nouveau logiciel à la mode).
Antoine Saint-Prix a raison, la formation c'est le nerf de la guerre ! On a investi dans un super CRM il y a deux ans, un truc hyper complet, mais la moitié de l'équipe ne l'utilise qu'à 20% de ses capacités. Résultat : des rapports incomplets, des données éparpillées, et un ROI qui fait la tête. On a beau râler, si on ne prend pas le temps de former correctement les gens, on se tire une balle dans le pied.
L'histoire du CRM qui sert à moitié, Manini, je crois qu'on est nombreux à la connaître... Ca me rappelle le basson que j'ai acheté il y a quelques années, j'etais tellement enthousiaste, j'ai pris des cours... puis bon, la vie a fait que... Bref ! Pour revenir au sujet principal, je suis d'accord avec l'idée que l'adoption est primordiale. Un truc qui marche bien chez nous, c'est de désigner des "champions" outils, des personnes qui se forment à fond et qui deviennent les référents pour le reste de l'équipe. Ça crée une dynamique d'entraide et ça facilite l'apprentissage. Faut juste bien les choisir, les champions, sinon ça peut vite se transformer en enfer. 😉
Merci pour vos éclaircissements et pour le partage de vos expériences ! C'est toujours intéressant d'avoir des retours concrets.
Bref, on est d'accord, faut former, former, former... et bien choisir ses champions ! 😉
Tout à fait d'accord Antoine Saint-Prix ! Faut pas juste balancer l'outil et espérer que ça fasse des miracles. Par contre, champion... champion... ça me fait penser aux JO ! J'ai trop hâte, surtout pour les épreuves d'athlétisme. Enfin bref ! Revenons à nos moutons, comme on dit... L'histoire des champions outils, c'est une super idée, mais faut aussi que la direction suive et soutienne l'initiative, sinon ça ne prendra jamais. Faut que ça vienne d'en haut aussi, la volonté d'investir dans la formation.
Bon, si on récapitule, on est partis de l'impact des outils sur la productivité, puis on a parlé des différents types d'équipes, du stress potentiel lié à leur utilisation, et finalement on a convergé vers l'importance de la formation et de l'adoption par les utilisateurs. L'idée des "champions outils" a été également soulevée, tout comme la nécessité d'un soutien de la direction pour que tout ça fonctionne. Voilà voilà...
On dirait un compte-rendu de réunion, Antoine. Manque juste les actions à mener et les responsables. 🤣 Plus sérieusement, c'est bien de synthétiser, mais on oublie un truc essentiel : le ROI. On investit des sommes folles dans ces outils, mais combien d'entreprises mesurent réellement l'impact sur le chiffre d'affaires ? On a l'impression de gagner du temps, d'être plus efficaces, mais est-ce que ça se traduit concrètement en euros sonnants et trébuchants ? Parce que bon, si on améliore la "communication" et la "collaboration" (les fameux buzzwords), mais qu'au final on ne vend pas plus, c'est un peu ballot, non ? Je dis ça, je dis rien... 🤔 Et puis, soyons honnêtes deux secondes, une partie non négligeable de ces outils, c'est du vent. On nous vend des solutions "innovantes" qui ne font que réinventer la roue. Le nombre de logiciels de gestion de projet qui proposent exactement les mêmes fonctionnalités, c'est juste hallucinant. Au final, on se retrouve avec une complexité accrue, sans bénéfice réel pour la productivité. Et pendant ce temps, les fournisseurs se gavent. C'est un peu comme la ruée vers l'or : tout le monde se précipite, mais seuls les vendeurs de pelles et de pioches s'enrichissent vraiment. 💰