Ah, l'organisation d'une manif... tout un art ! Pâteàrire, t'as raison de soulever la question, c'est pas juste une histoire de banderoles et de slogans.
Pour avoir participé à quelques événements revendicatifs (bon, plus en tant que spectateur qu'organisateur, je l'avoue), je dirais que la clé, c'est l'anticipation. Faut prévoir le moindre truc qui pourrait foirer. Genre, le mec qui a oublié son mégaphone, la sono qui lâche au moment crucial, ou pire, la pluie qui transforme tout le monde en canard trempé. A ce sujet, je connais un site pas mal, ballon-manifestation.fr si vous cherchez du matos de qualité et des idées un peu originales pour que votre événement ne ressemble pas à toutes les autres manifestations.
Ensuite, y'a le côté com'. Perso, je pense qu'il faut frapper fort, mais avec intelligence. Inonder les réseaux sociaux de posts, c'est bien, mais si c'est juste pour dire "on est là, venez", ça suffit pas. Faut créer l'événement, susciter l'intérêt, donner envie aux gens de se déplacer. Une petite vidéo virale, des affiches créatives, un happening original... Bref, faut se démarquer. Et surtout, surtout, ne pas négliger le "après". Une manif réussie, c'est bien, mais si y'a pas de suivi derrière, ça sert à rien. Faut capitaliser sur l'événement, relancer le débat, continuer à faire pression. C'est là que le CRM entre en jeu, héhé !
Et pour garder tout le monde motivé, je dirais qu'il faut miser sur l'esprit d'équipe. Faire en sorte que chacun se sente impliqué, utile. Organiser des petites réunions régulières pour faire le point, écouter les idées de chacun, encourager l'initiative. Et surtout, ne pas oublier de fêter les petites victoires ! Parce que bon, une manif, c'est du boulot, faut bien se récompenser de temps en temps.
En tout cas, bon courage pour votre organisation ! Et n'hésitez pas à partager vos propres astuces, ça peut toujours servir.
L'Explorateur83 a raison, l'anticipation c'est la moitié du job. Mais bon, venant d'un "spectateur", c'est facile à dire.
Un truc que j'ai vu fonctionner, c'est de segmenter les participants. Tu crées des petits groupes avec des rôles bien définis : sécurité, logistique, communication, premiers secours... Chacun sait ce qu'il a à faire, et ça évite le chaos. Et surtout, un responsable par groupe, avec un talkie-walkie. Parce que crier, ça fatigue.
Et pour la motivation, au lieu de petites réunions gnangnan, proposez un défi. Un truc un peu con, genre celui qui trouve le slogan le plus percutant gagne une bière. La compétition, y'a que ça de vrai.
Sarcastique, pas mal l'idée des groupes segmentés, c'est vrai que ça structure bien le truc. L'Explorateur83 a raison de souligner l'importance d'anticiper, mais concrètement, comment on fait ? Parce que "prévoir le moindre truc qui pourrait foirer", c'est joli sur le papier, mais en pratique...
Si on parle de com', je rejoins L'Explorateur83 sur le fait qu'il faut frapper fort et malin. Inonder les réseaux, c'est bien, mais faut pas se contenter de balancer des infos sans intérêt. Je pense qu'il faut vraiment bosser son storytelling, raconter une histoire qui parle aux gens, qui les touche. Le site ballon-manifestation, pourquoi pas, mais faut voir si ça colle avec le message qu'on veut faire passer.
En parlant d'histoire, j'ai vu des stats intéressantes sur l'impact du storytelling en marketing. Selon une étude de HubSpot, 55% des consommateurs sont plus susceptibles d'acheter un produit ou un service s'ils sont touchés par l'histoire de la marque. Et selon une autre étude de Headstream, 92% des consommateurs veulent que les publicités aient l'air d'une histoire. Du coup, je pense qu'on peut appliquer ces principes à une manif : au lieu de juste crier des slogans, on raconte pourquoi on est là, ce qu'on veut changer, ce qu'on ressent.
Et Sarcastique, pour la motivation, je suis d'accord avec toi, la compétition, ça peut marcher. Mais faut pas que ça devienne le bordel non plus. Faut trouver un juste milieu entre le défi et l'esprit d'équipe. Une étude de l'Université de Harvard montre que les équipes les plus performantes sont celles où les membres se font confiance et s'entraident. Donc, on peut proposer un défi, mais on n'oublie pas de féliciter tout le monde, de valoriser les efforts de chacun.
Au final, je pense que le plus important, c'est d'avoir des objectifs clairs (comme dit dans les datas, planification précoce, objectifs clairs, budget défini, public cible identifié, lieu adéquat, plan d'événement, image de marque, équipe désignée, sponsors recherchés, plan marketing, évaluation post-événement), une bonne communication, et une équipe motivée. Et surtout, ne pas avoir peur de se lancer et de faire des erreurs. Parce que bon, c'est en forgeant qu'on devient forgeron. On sait jamais, une petite manif peut déclencher de grandes choses.
Manini, t'as bien raison, des objectifs clairs c'est *tellement* important ! Sans ça, on part dans tous les sens et on arrive à rien... Enfin, si, à une grosse fatigue et des miettes de motivation.
Le coup du storytelling, j'adore l'idée ! Ça me fait penser aux pubs de Noël qui nous font chialer alors qu'on voulait juste acheter du chocolat. Si on arrive à faire ça avec une manif, c'est gagné ! Faut juste trouver l'angle, la petite étincelle qui va toucher les gens au cœur... et les faire sortir de chez eux un dimanche après-midi (parce que soyons honnêtes, c'est jamais facile !)
Pâteàrire, l'image des pubs de Noël, c'est tout à fait ça! C'est exactement le genre d'émotion qu'il faut chercher à susciter.
En tant que correctrice, je me suis souvent penchée sur la puissance des mots et des récits. Les chiffres, c'est bien, mais une bonne histoire, c'est encore mieux pour marquer les esprits. Manini a raison de mentionner les stats sur le storytelling : 55% des consommateurs plus susceptibles d'acheter si touchés par l'histoire, 92% qui veulent des pubs comme des histoires... C'est parlant.
Pour le storytelling, il faut creuser. Quelle est l'histoire derrière la revendication ? Quels sont les visages, les témoignages, les anecdotes qui peuvent incarner la cause ? Faut pas hésiter à aller chercher du côté du reportage, du documentaire.
Et surtout, faut pas que ça sonne faux. L'authenticité, c'est primordial. Les gens sentent tout de suite si on essaie de les manipuler avec des émotions fabriquées. Selon une étude de Stackla, 86% des consommateurs estiment que l'authenticité est un facteur clé dans leur décision d'achat. Si c'est valable pour un produit, ça l'est encore plus pour une cause. Faut que le message soit sincère, porté par des gens qui y croient vraiment.
L'idée, ce serait de créer un récit qui résonne avec les valeurs du public cible (comme dit dans les datas, "public cible identifié"). Si on s'adresse à des jeunes, on va peut-être miser sur des formats plus courts, plus visuels, plus percutants. Si on vise un public plus âgé, on peut développer des arguments plus construits, plus documentés.
Faut pas oublier que le storytelling, c'est pas juste raconter une histoire, c'est aussi créer un lien avec son public. C'est l'inviter à faire partie de l'aventure, à se sentir concerné, à agir. Une manif, c'est une forme de récit collectif. Si on arrive à bien la raconter, on peut vraiment mobiliser les foules. Reste à espérer que le dimanche après-midi, le public cible soit disponible.
Minh la Musicienne, ton approche sur l'authenticité, c'est vraiment le nerf de la guerre. J'ai toujours pensé que les gens, même sans être des experts en marketing, sentent quand on essaie de les embobiner avec des histoires fabriquées de toutes pièces. C'est comme quand tu regardes un film et que tu vois tout de suite que l'acteur n'y croit pas une seconde à ce qu'il dit.
Cette statistique que tu cites de Stackla, avec 86% des consommateurs qui valorisent l'authenticité, elle me parle énormément. Dans mon métier, je vois bien que les clients, ils veulent du vrai, du simple. Ils en ont marre des chichis et des manœuvres. Si tu leur racontes une histoire vraie, qui vient du cœur, ils sont beaucoup plus réceptifs. Et je pense que c'est pareil pour une manif. Si les gens sentent que tu te bats pour quelque chose qui compte vraiment pour toi, ils seront plus enclins à te suivre.
Et ton idée de créer un récit qui résonne avec les valeurs du public cible, c'est tout à fait juste. Faut pas se contenter de balancer un message générique qui ne parle à personne. Faut vraiment prendre le temps de réfléchir à qui on s'adresse, à ce qui les touche, à ce qui les motive. Et adapter son message en conséquence. C'est un peu comme quand tu fais un plat pour des amis : tu ne vas pas leur servir la même chose si tu sais qu'ils sont végétariens ou allergiques aux fruits de mer.
Après, c'est sûr que trouver le bon angle, la petite étincelle, c'est pas toujours facile. Mais je pense que c'est en creusant, en allant chercher les témoignages, les anecdotes, les visages derrière la revendication, qu'on finit par trouver quelque chose qui touche les gens au cœur. Et comme tu dis, faut pas avoir peur de se lancer et de faire des erreurs. C'est en essayant qu'on apprend.
Djellouli46, carrément d'accord avec toi ! L'authenticité, c'est la base. On est tellement bombardés de pubs et de messages formatés qu'on finit par devenir allergiques au blabla.
Et puis, faut dire ce qui est, les gens ne sont pas dupes. Ils voient tout de suite quand on essaie de leur vendre du rêve avec des promesses bidon. C'est comme les politiciens qui font des discours enflammés avant les élections et qui oublient leurs promesses une fois élus. On a tous été déçus au moins une fois, et ça nous rend méfiants.
Dans mon boulot, en tant que responsable CRM, je vois bien que les clients sont de plus en plus exigeants sur la transparence et l'honnêteté. Ils veulent savoir à qui ils ont affaire, quelles sont les valeurs de l'entreprise, comment elle se comporte avec ses employés et avec l'environnement. Si on essaie de leur cacher des choses, ils le sentent tout de suite, et ils vont voir ailleurs. D'ailleurs, une étude de Label Insight a montré que 94% des consommateurs sont plus susceptibles d'être fidèles à une marque qui offre une transparence totale. Ça veut dire qu'il faut être prêt à tout montrer, même les aspects moins reluisants. C'est un peu risqué, mais au final, ça paye.
Alors pour une manif, c'est pareil. Faut pas hésiter à montrer les failles, les difficultés, les moments de doute. Faut raconter l'histoire telle qu'elle est, avec ses hauts et ses bas. Les gens se sentiront plus proches de la cause, et ils seront plus enclins à s'impliquer. Parce que au fond, ce qu'on cherche, c'est à créer du lien, à construire une communauté. On parlait de storytelling, mais il y a aussi l'aspect visuel, faire des photos, des vidéos, des interviews.
Et tu as raison de souligner l'importance d'adapter le message au public cible. Si on s'adresse à des jeunes, on va peut-être utiliser des codes différents, un langage plus direct, des références à la pop culture. Si on vise un public plus âgé, on va peut-être privilégier des arguments plus rationnels, des données chiffrées, des témoignages d'experts. Ce qui marche auprès des uns ne marche pas forcément auprès des autres.
Faut pas oublier que l'objectif, c'est de toucher les gens au cœur, de leur donner envie de se battre pour une cause qui les dépasse. C'est pas facile, mais c'est possible. Faut juste être sincère, authentique, et ne pas avoir peur de se montrer vulnérable. Et puis, faut se dire que même si on ne réussit pas à mobiliser les foules, on aura au moins essayé de faire bouger les choses. C'est déjà ça.
L'Explorateur83, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'aspect visuel.
D'ailleurs, en parlant de photos et de vidéos, c'est vrai que parfois, on se focalise tellement sur le fond du message qu'on oublie la forme. Une belle affiche, une vidéo bien montée, ça peut vraiment faire la différence. On en revient à l'importance de bien cibler son public, d'adapter le message à ses attentes.
Pour rebondir sur ce que tu disais à propos des jeunes et de la pop culture, il y a des mêmes qui peuvent être des outils puissants si ils sont bien faits.
Le nerf de la guerre c'est de toucher les gens au cœur, de leur donner envie de se battre pour une cause qui les dépasse.
Moi, je dirais : faites des pancartes bien trash ! 😈 Un slogan bien senti, une image qui choque (mais pas trop, faut pas finir au poste), c'est ça qui attire l'attention. Faut que les médias en parlent, même si c'est pour critiquer. L'important, c'est de faire le buzz. 😎 Et si ça peut faire rager quelques bourgeois, c'est toujours ça de pris. 😇 #ManifTrash #Buzz #Rage
Ok, si je résume bien, on est partis des conseils basiques pour organiser une manif (logistique, motivation), puis on a dérivé sur l'importance de l'anticipation et de la segmentation des tâches. Ensuite, on a pas mal insisté sur le storytelling, en soulignant qu'il fallait surtout être authentique et sincère pour toucher le public cible. On a aussi parlé de l'aspect visuel, des photos, des vidéos... Et Sarcastique nous propose des pancartes trash pour faire le buzz. Bref, plein d'idées à creuser !
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Ah, l'organisation d'une manif... tout un art ! Pâteàrire, t'as raison de soulever la question, c'est pas juste une histoire de banderoles et de slogans. Pour avoir participé à quelques événements revendicatifs (bon, plus en tant que spectateur qu'organisateur, je l'avoue), je dirais que la clé, c'est l'anticipation. Faut prévoir le moindre truc qui pourrait foirer. Genre, le mec qui a oublié son mégaphone, la sono qui lâche au moment crucial, ou pire, la pluie qui transforme tout le monde en canard trempé. A ce sujet, je connais un site pas mal, ballon-manifestation.fr si vous cherchez du matos de qualité et des idées un peu originales pour que votre événement ne ressemble pas à toutes les autres manifestations. Ensuite, y'a le côté com'. Perso, je pense qu'il faut frapper fort, mais avec intelligence. Inonder les réseaux sociaux de posts, c'est bien, mais si c'est juste pour dire "on est là, venez", ça suffit pas. Faut créer l'événement, susciter l'intérêt, donner envie aux gens de se déplacer. Une petite vidéo virale, des affiches créatives, un happening original... Bref, faut se démarquer. Et surtout, surtout, ne pas négliger le "après". Une manif réussie, c'est bien, mais si y'a pas de suivi derrière, ça sert à rien. Faut capitaliser sur l'événement, relancer le débat, continuer à faire pression. C'est là que le CRM entre en jeu, héhé ! Et pour garder tout le monde motivé, je dirais qu'il faut miser sur l'esprit d'équipe. Faire en sorte que chacun se sente impliqué, utile. Organiser des petites réunions régulières pour faire le point, écouter les idées de chacun, encourager l'initiative. Et surtout, ne pas oublier de fêter les petites victoires ! Parce que bon, une manif, c'est du boulot, faut bien se récompenser de temps en temps. En tout cas, bon courage pour votre organisation ! Et n'hésitez pas à partager vos propres astuces, ça peut toujours servir.
L'Explorateur83 a raison, l'anticipation c'est la moitié du job. Mais bon, venant d'un "spectateur", c'est facile à dire. Un truc que j'ai vu fonctionner, c'est de segmenter les participants. Tu crées des petits groupes avec des rôles bien définis : sécurité, logistique, communication, premiers secours... Chacun sait ce qu'il a à faire, et ça évite le chaos. Et surtout, un responsable par groupe, avec un talkie-walkie. Parce que crier, ça fatigue. Et pour la motivation, au lieu de petites réunions gnangnan, proposez un défi. Un truc un peu con, genre celui qui trouve le slogan le plus percutant gagne une bière. La compétition, y'a que ça de vrai.
Sarcastique, pas mal l'idée des groupes segmentés, c'est vrai que ça structure bien le truc. L'Explorateur83 a raison de souligner l'importance d'anticiper, mais concrètement, comment on fait ? Parce que "prévoir le moindre truc qui pourrait foirer", c'est joli sur le papier, mais en pratique... Si on parle de com', je rejoins L'Explorateur83 sur le fait qu'il faut frapper fort et malin. Inonder les réseaux, c'est bien, mais faut pas se contenter de balancer des infos sans intérêt. Je pense qu'il faut vraiment bosser son storytelling, raconter une histoire qui parle aux gens, qui les touche. Le site ballon-manifestation, pourquoi pas, mais faut voir si ça colle avec le message qu'on veut faire passer. En parlant d'histoire, j'ai vu des stats intéressantes sur l'impact du storytelling en marketing. Selon une étude de HubSpot, 55% des consommateurs sont plus susceptibles d'acheter un produit ou un service s'ils sont touchés par l'histoire de la marque. Et selon une autre étude de Headstream, 92% des consommateurs veulent que les publicités aient l'air d'une histoire. Du coup, je pense qu'on peut appliquer ces principes à une manif : au lieu de juste crier des slogans, on raconte pourquoi on est là, ce qu'on veut changer, ce qu'on ressent. Et Sarcastique, pour la motivation, je suis d'accord avec toi, la compétition, ça peut marcher. Mais faut pas que ça devienne le bordel non plus. Faut trouver un juste milieu entre le défi et l'esprit d'équipe. Une étude de l'Université de Harvard montre que les équipes les plus performantes sont celles où les membres se font confiance et s'entraident. Donc, on peut proposer un défi, mais on n'oublie pas de féliciter tout le monde, de valoriser les efforts de chacun. Au final, je pense que le plus important, c'est d'avoir des objectifs clairs (comme dit dans les datas, planification précoce, objectifs clairs, budget défini, public cible identifié, lieu adéquat, plan d'événement, image de marque, équipe désignée, sponsors recherchés, plan marketing, évaluation post-événement), une bonne communication, et une équipe motivée. Et surtout, ne pas avoir peur de se lancer et de faire des erreurs. Parce que bon, c'est en forgeant qu'on devient forgeron. On sait jamais, une petite manif peut déclencher de grandes choses.
Manini, t'as bien raison, des objectifs clairs c'est *tellement* important ! Sans ça, on part dans tous les sens et on arrive à rien... Enfin, si, à une grosse fatigue et des miettes de motivation. Le coup du storytelling, j'adore l'idée ! Ça me fait penser aux pubs de Noël qui nous font chialer alors qu'on voulait juste acheter du chocolat. Si on arrive à faire ça avec une manif, c'est gagné ! Faut juste trouver l'angle, la petite étincelle qui va toucher les gens au cœur... et les faire sortir de chez eux un dimanche après-midi (parce que soyons honnêtes, c'est jamais facile !)
Pâteàrire, l'image des pubs de Noël, c'est tout à fait ça! C'est exactement le genre d'émotion qu'il faut chercher à susciter. En tant que correctrice, je me suis souvent penchée sur la puissance des mots et des récits. Les chiffres, c'est bien, mais une bonne histoire, c'est encore mieux pour marquer les esprits. Manini a raison de mentionner les stats sur le storytelling : 55% des consommateurs plus susceptibles d'acheter si touchés par l'histoire, 92% qui veulent des pubs comme des histoires... C'est parlant. Pour le storytelling, il faut creuser. Quelle est l'histoire derrière la revendication ? Quels sont les visages, les témoignages, les anecdotes qui peuvent incarner la cause ? Faut pas hésiter à aller chercher du côté du reportage, du documentaire. Et surtout, faut pas que ça sonne faux. L'authenticité, c'est primordial. Les gens sentent tout de suite si on essaie de les manipuler avec des émotions fabriquées. Selon une étude de Stackla, 86% des consommateurs estiment que l'authenticité est un facteur clé dans leur décision d'achat. Si c'est valable pour un produit, ça l'est encore plus pour une cause. Faut que le message soit sincère, porté par des gens qui y croient vraiment. L'idée, ce serait de créer un récit qui résonne avec les valeurs du public cible (comme dit dans les datas, "public cible identifié"). Si on s'adresse à des jeunes, on va peut-être miser sur des formats plus courts, plus visuels, plus percutants. Si on vise un public plus âgé, on peut développer des arguments plus construits, plus documentés. Faut pas oublier que le storytelling, c'est pas juste raconter une histoire, c'est aussi créer un lien avec son public. C'est l'inviter à faire partie de l'aventure, à se sentir concerné, à agir. Une manif, c'est une forme de récit collectif. Si on arrive à bien la raconter, on peut vraiment mobiliser les foules. Reste à espérer que le dimanche après-midi, le public cible soit disponible.
Minh la Musicienne, ton approche sur l'authenticité, c'est vraiment le nerf de la guerre. J'ai toujours pensé que les gens, même sans être des experts en marketing, sentent quand on essaie de les embobiner avec des histoires fabriquées de toutes pièces. C'est comme quand tu regardes un film et que tu vois tout de suite que l'acteur n'y croit pas une seconde à ce qu'il dit. Cette statistique que tu cites de Stackla, avec 86% des consommateurs qui valorisent l'authenticité, elle me parle énormément. Dans mon métier, je vois bien que les clients, ils veulent du vrai, du simple. Ils en ont marre des chichis et des manœuvres. Si tu leur racontes une histoire vraie, qui vient du cœur, ils sont beaucoup plus réceptifs. Et je pense que c'est pareil pour une manif. Si les gens sentent que tu te bats pour quelque chose qui compte vraiment pour toi, ils seront plus enclins à te suivre. Et ton idée de créer un récit qui résonne avec les valeurs du public cible, c'est tout à fait juste. Faut pas se contenter de balancer un message générique qui ne parle à personne. Faut vraiment prendre le temps de réfléchir à qui on s'adresse, à ce qui les touche, à ce qui les motive. Et adapter son message en conséquence. C'est un peu comme quand tu fais un plat pour des amis : tu ne vas pas leur servir la même chose si tu sais qu'ils sont végétariens ou allergiques aux fruits de mer. Après, c'est sûr que trouver le bon angle, la petite étincelle, c'est pas toujours facile. Mais je pense que c'est en creusant, en allant chercher les témoignages, les anecdotes, les visages derrière la revendication, qu'on finit par trouver quelque chose qui touche les gens au cœur. Et comme tu dis, faut pas avoir peur de se lancer et de faire des erreurs. C'est en essayant qu'on apprend.
Djellouli46, carrément d'accord avec toi ! L'authenticité, c'est la base. On est tellement bombardés de pubs et de messages formatés qu'on finit par devenir allergiques au blabla. Et puis, faut dire ce qui est, les gens ne sont pas dupes. Ils voient tout de suite quand on essaie de leur vendre du rêve avec des promesses bidon. C'est comme les politiciens qui font des discours enflammés avant les élections et qui oublient leurs promesses une fois élus. On a tous été déçus au moins une fois, et ça nous rend méfiants. Dans mon boulot, en tant que responsable CRM, je vois bien que les clients sont de plus en plus exigeants sur la transparence et l'honnêteté. Ils veulent savoir à qui ils ont affaire, quelles sont les valeurs de l'entreprise, comment elle se comporte avec ses employés et avec l'environnement. Si on essaie de leur cacher des choses, ils le sentent tout de suite, et ils vont voir ailleurs. D'ailleurs, une étude de Label Insight a montré que 94% des consommateurs sont plus susceptibles d'être fidèles à une marque qui offre une transparence totale. Ça veut dire qu'il faut être prêt à tout montrer, même les aspects moins reluisants. C'est un peu risqué, mais au final, ça paye. Alors pour une manif, c'est pareil. Faut pas hésiter à montrer les failles, les difficultés, les moments de doute. Faut raconter l'histoire telle qu'elle est, avec ses hauts et ses bas. Les gens se sentiront plus proches de la cause, et ils seront plus enclins à s'impliquer. Parce que au fond, ce qu'on cherche, c'est à créer du lien, à construire une communauté. On parlait de storytelling, mais il y a aussi l'aspect visuel, faire des photos, des vidéos, des interviews. Et tu as raison de souligner l'importance d'adapter le message au public cible. Si on s'adresse à des jeunes, on va peut-être utiliser des codes différents, un langage plus direct, des références à la pop culture. Si on vise un public plus âgé, on va peut-être privilégier des arguments plus rationnels, des données chiffrées, des témoignages d'experts. Ce qui marche auprès des uns ne marche pas forcément auprès des autres. Faut pas oublier que l'objectif, c'est de toucher les gens au cœur, de leur donner envie de se battre pour une cause qui les dépasse. C'est pas facile, mais c'est possible. Faut juste être sincère, authentique, et ne pas avoir peur de se montrer vulnérable. Et puis, faut se dire que même si on ne réussit pas à mobiliser les foules, on aura au moins essayé de faire bouger les choses. C'est déjà ça.
L'Explorateur83, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'aspect visuel. D'ailleurs, en parlant de photos et de vidéos, c'est vrai que parfois, on se focalise tellement sur le fond du message qu'on oublie la forme. Une belle affiche, une vidéo bien montée, ça peut vraiment faire la différence. On en revient à l'importance de bien cibler son public, d'adapter le message à ses attentes. Pour rebondir sur ce que tu disais à propos des jeunes et de la pop culture, il y a des mêmes qui peuvent être des outils puissants si ils sont bien faits. Le nerf de la guerre c'est de toucher les gens au cœur, de leur donner envie de se battre pour une cause qui les dépasse.
Moi, je dirais : faites des pancartes bien trash ! 😈 Un slogan bien senti, une image qui choque (mais pas trop, faut pas finir au poste), c'est ça qui attire l'attention. Faut que les médias en parlent, même si c'est pour critiquer. L'important, c'est de faire le buzz. 😎 Et si ça peut faire rager quelques bourgeois, c'est toujours ça de pris. 😇 #ManifTrash #Buzz #Rage
Ok, si je résume bien, on est partis des conseils basiques pour organiser une manif (logistique, motivation), puis on a dérivé sur l'importance de l'anticipation et de la segmentation des tâches. Ensuite, on a pas mal insisté sur le storytelling, en soulignant qu'il fallait surtout être authentique et sincère pour toucher le public cible. On a aussi parlé de l'aspect visuel, des photos, des vidéos... Et Sarcastique nous propose des pancartes trash pour faire le buzz. Bref, plein d'idées à creuser !