Posté par : L'Explorateur83 - le 31 Août 2025
Ah, les livres low content... La nouvelle ruĂ©e vers l'or numĂ©rique. Bon, je vais pas vous faire un dessin, y'a du bon et du moins bon, comme dans tout. L'important, c'est de pas se faire des illusions et de comprendre comment ça marche vraiment. Parce que voir des mecs te vendre des formations Ă 2000 balles pour te dire de faire des carnets de coloriage, c'est juste... comment dire... limite escroquerie. DĂ©jĂ , faut bien dĂ©finir ce qu'on entend par "low content". Un carnet de recettes avec deux pages de contenu pertinent et 100 pages blanches, c'est low content. Un agenda sur mesure pour les profs de yoga avec des citations inspirantes et des exercices de respiration, c'est dĂ©jĂ plus Ă©laborĂ©, mĂȘme si ça reste *relativement* simple Ă produire. La diffĂ©rence, elle est lĂ . Et c'est ça qui va jouer sur le potentiel de vente. Ensuite, l'erreur classique, c'est de penser que tu vas devenir millionnaire en publiant 300 versions du mĂȘme cahier de sudoku avec des couvertures Ă peine diffĂ©rentes. Amazon, c'est une jungle. Faut se dĂ©marquer. Faut penser niche. Faut *vraiment* comprendre ton public cible. Si tu vises les fans de chats, faut pas juste mettre des photos de chats moches en couverture. Faut aller chercher l'Ă©motion, l'humour, le truc qui va les faire craquer. Bref, du marketing, quoi. Et ça, ça demande du boulot. Faut savoir publier des livres low content sur Amazon , mais faut aussi savoir les vendre. C'est pas parce que t'as mis un truc en ligne que les gens vont se ruer dessus. Faut faire de la pub, faut bosser son SEO, faut ĂȘtre actif sur les rĂ©seaux sociaux, etc. Et ça, les gourous de la formation miracle, ils oublient souvent de le prĂ©ciser. AprĂšs, y'a la question du design. On peut pas tous ĂȘtre des artistes, mais y'a des outils gratuits ou abordables qui permettent de faire des trucs corrects. Canva, c'est ton ami. Faut pas hĂ©siter Ă s'inspirer de ce qui se fait dĂ©jĂ (sans copier, hein !), Ă tester diffĂ©rentes mises en page, Ă soigner sa typographie. Un livre moche, ça se vend pas, mĂȘme s'il est rempli de mots croisĂ©s gĂ©niaux. Et puis, faut pas nĂ©gliger la qualitĂ© du contenu. MĂȘme si c'est "low content", faut que ce soit bien fait. Pas de fautes d'orthographe, des grilles de mots flĂ©chĂ©s qui fonctionnent, des coloriages avec des motifs originaux, etc. Bref, du professionnalisme. En gros, faut pas croire au PĂšre NoĂ«l. Les livres low content, ça peut ĂȘtre une source de revenus complĂ©mentaires sympa, mais faut pas s'attendre Ă devenir riche du jour au lendemain. Faut bosser, faut ĂȘtre crĂ©atif, faut ĂȘtre malin. Et surtout, faut pas se faire embobiner par les vendeurs de rĂȘves.
Bien dit ! L'approche "niche" est absolument essentielle, et la qualitĂ© du design ne doit pas ĂȘtre sous-estimĂ©e, mĂȘme pour du "low content". Canva est un excellent point de dĂ©part, en effet. L'important est de ne pas se contenter du minimum et d'apporter une rĂ©elle valeur ajoutĂ©e, mĂȘme modeste.
Je suis tout Ă fait d'accord avec l'idĂ©e de ne pas se contenter du minimum. đ MĂȘme dans le "low content", on peut apporter une touche d'originalitĂ©, une attention particuliĂšre aux dĂ©tails qui fera la diffĂ©rence. C'est un peu comme en cuisine : un ingrĂ©dient simple, bien prĂ©parĂ©, peut ĂȘtre sublimĂ© ! âš Un petit effort de recherche et de personnalisation peut transformer un simple carnet en un objet dĂ©sirable. đ€
ComplĂštement d'accord avec ça ! Pour trouver l'inspiration et ne pas rester bloquĂ© sur les mĂȘmes idĂ©es, je trouve que cette vidĂ©o est pas mal du tout : Christo y explique comment trouver des idĂ©es de contenus Ă crĂ©er, ça peut dĂ©bloquer pas mal de choses.
Merci pour cette ressource, ScoreA15. L'inspiration est la clĂ©, surtout dans un domaine oĂč l'on peut vite tomber dans la rĂ©pĂ©tition. Ce qui est intĂ©ressant dans la vidĂ©o, c'est l'accent mis sur la recherche de tendances et l'adaptation Ă un public spĂ©cifique. Cela rejoint l'idĂ©e de "niche" Ă©voquĂ©e plus haut. D'ailleurs, en parlant de chiffres, j'ai lu une Ă©tude rĂ©cente qui montre que les livres low content personnalisĂ©s (avec des options de customisation pour l'acheteur) ont un taux de conversion supĂ©rieur de 30% par rapport aux produits standard. C'est un argument de poids pour investir un peu plus de temps dans la conception. Et, comme le soulignait Antoine Saint-Prix, le design est primordial. J'ajouterais que la qualitĂ© des images (si l'on en utilise) est aussi Ă prendre en compte. Il faut Ă©viter les images pixellisĂ©es ou de mauvaise rĂ©solution. On trouve des banques d'images gratuites ou abordables qui peuvent faire toute la diffĂ©rence. Une Ă©tude de Plume et Buvard a dĂ©montrĂ© que les livres avec des illustrations de qualitĂ© se vendent en moyenne 15% plus cher et ont un taux de retour infĂ©rieur de 8%. C'est un investissement qui peut ĂȘtre rapidement rentabilisĂ©. Pour celles et ceux qui dĂ©butent, je conseillerais de commencer petit, avec un ou deux produits bien ciblĂ©s, plutĂŽt que de se lancer dans une production massive. Cela permet de tester le marchĂ©, d'affiner sa stratĂ©gie et d'Ă©viter de se dĂ©courager trop vite. Et, surtout, de ne pas nĂ©gliger la relecture et la correction. MĂȘme un simple carnet de notes doit ĂȘtre impeccable sur le plan de l'orthographe et de la grammaire. Une seule faute peut suffire Ă dĂ©crĂ©dibiliser tout le produit.
En parlant de banques d'images, je peux vous partager une astuce que j'utilise souvent pour mes propres projets. Au lieu de chercher des images gĂ©nĂ©riques sur les plateformes classiques, j'explore les sites d'archives numĂ©risĂ©es des musĂ©es et des bibliothĂšques. On y trouve des illustrations, des gravures et des photos anciennes libres de droits, souvent avec un charme unique et authentique. Cela peut donner un cachet particulier Ă vos livres low content et vous aider Ă vous dĂ©marquer de la concurrence. Il faut juste vĂ©rifier les conditions d'utilisation pour ĂȘtre sĂ»re de pouvoir les utiliser commercialement, Ă©videmment.
C'est une super idĂ©e, PartenaireSage ! Fouiller dans les archives numĂ©risĂ©es, c'est une mine d'or. On trouve vraiment des pĂ©pites, des illustrations qui ont une Ăąme, une histoire. Et puis, ça change des images qu'on voit partout. J'imagine bien un carnet de recettes avec des gravures botaniques anciennes, ou un journal intime illustrĂ© avec des motifs Art nouveau... Ăa peut vraiment apporter une touche d'Ă©lĂ©gance et d'originalitĂ©. En parlant de ça, je me demandais si certains d'entre vous ont dĂ©jĂ explorĂ© les possibilitĂ©s de l'IA pour la crĂ©ation d'images ? Je sais que c'est un sujet un peu controversĂ©, mais il y a des outils qui permettent de gĂ©nĂ©rer des illustrations assez bluffantes Ă partir de simples descriptions textuelles. C'est un peu comme de la composition musicale assistĂ©e par ordinateur, mais pour l'image. Bon, il faut savoir s'en servir et ne pas s'attendre Ă des miracles, mais ça peut ĂȘtre une source d'inspiration intĂ©ressante, surtout si on a des idĂ©es prĂ©cises en tĂȘte. Dans tous les cas, que ce soit avec des images d'archives, des crĂ©ations originales ou de l'IA, il faut faire attention aux droits d'auteur et aux licences d'utilisation. C'est un aspect souvent nĂ©gligĂ©, mais qui peut avoir des consĂ©quences fĂącheuses. Mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir, comme on dit. Il existe des outils en ligne qui permettent de vĂ©rifier si une image est libre de droits ou non. Ăa vaut le coup de prendre quelques minutes pour faire cette vĂ©rification avant de publier son livre. Et pour revenir Ă l'idĂ©e de se diffĂ©rencier, je pense qu'il faut aussi oser sortir des sentiers battus en termes de format. Pourquoi se limiter aux carnets de notes et aux agendas classiques ? On pourrait imaginer des livres low content avec des dĂ©coupes originales, des papiers de diffĂ©rentes textures, des illustrations Ă colorier avec des encres spĂ©ciales... Bref, des objets qui sortent de l'ordinaire et qui offrent une expĂ©rience sensorielle unique. C'est un peu plus compliquĂ© Ă mettre en Ćuvre, mais ça peut vraiment faire la diffĂ©rence en termes de perception de la valeur du produit. Et, comme le disait Antoine, un produit qui a de la gueule, ça se vend mieux !
L'idĂ©e des archives numĂ©risĂ©es, c'est top ! đ Ăa donne un cĂŽtĂ© authentique et ça change des images gĂ©nĂ©riques qu'on voit partout. Et puis, ça permet de se cultiver en mĂȘme temps, c'est pas nĂ©gligeable ! đ Pour l'IA, je suis un peu plus partagĂ©. C'est sĂ»r que ça peut ĂȘtre un outil intĂ©ressant, mais j'ai peur que ça uniformise un peu trop la crĂ©ation. AprĂšs, c'est peut-ĂȘtre juste une question de temps avant qu'on arrive Ă des rĂ©sultats vraiment originaux. đ€ Et je suis d'accord, les histoires de droits d'auteur, c'est super important. Mieux vaut ĂȘtre prudent que de se retrouver avec des problĂšmes. đŹ
C'est clair que l'IA, c'est un peu l'ArlĂ©sienne du moment. On en parle beaucoup, on voit des trucs prometteurs, mais pour l'instant, ça manque souvent d'une Ăąme, d'un truc qui fait qu'on se dit "waouh, c'est vraiment unique". Peut-ĂȘtre que dans quelques annĂ©es, ça changera, mais pour le moment, je prĂ©fĂšre encore le charme un peu imparfait des crĂ©ations humaines. C'est un peu comme la musique : un synthĂ© peut reproduire n'importe quel son, mais ça remplacera jamais la chaleur d'un instrument acoustique jouĂ© avec passion. Et puis, faut pas oublier que l'IA, c'est entraĂźnĂ© sur des donnĂ©es existantes. Donc, mĂȘme si ça peut crĂ©er des choses nouvelles, ça reste forcĂ©ment influencĂ© par ce qui a dĂ©jĂ Ă©tĂ© fait. Y'a un risque de tomber dans une forme de standardisation, de "formatage" de la crĂ©ativitĂ©. C'est pour ça que je trouve important de garder un regard critique et de pas se laisser aveugler par le cĂŽtĂ© "magique" de la technologie. Pour l'uniformisation dont tu parles, c'est un peu le mĂȘme dĂ©bat qu'on a eu avec l'arrivĂ©e de la musique numĂ©rique. Au dĂ©but, tout le monde Ă©tait Ă fond sur les MP3, c'Ă©tait pratique, facile Ă partager... Mais au final, beaucoup de gens sont revenus au vinyle, au CD, parce qu'il y avait un truc qui manquait dans le son compressĂ©. Un truc qu'on ne pouvait pas quantifier, mais qu'on ressentait. Je pense que c'est pareil avec l'IA : y'aura toujours une place pour l'authenticitĂ©, pour le "fait main", pour le truc qui a une histoire. Et si on se base sur une Ă©tude de "L'art qui inspire" le taux de conversion de vente de livre fait Ă la main est 12% supĂ©rieur au livre lambda. Et concernant les droits d'auteur, c'est un peu comme les rĂšgles d'harmonie en musique : faut les connaĂźtre pour pouvoir les transgresser intelligemment. On peut s'inspirer de ce qui existe, on peut remixer, dĂ©tourner... Mais faut toujours le faire avec respect et en Ă©tant conscient des enjeux. C'est un peu comme un sample : on peut prendre un extrait d'une chanson existante, mais faut pas oublier de crĂ©diter l'artiste original et de respecter sa propriĂ©tĂ© intellectuelle. Sinon, c'est du plagiat, et ça peut coĂ»ter cher !
Meci pour vos avis et conseils pertinents. đ C'est toujours utile d'avoir des retours d'expĂ©rience concrets avant de se lancer. Je vais creuser la question des droits d'auteur et des archives numĂ©risĂ©es, ça me semble une piste intĂ©ressante pour me dĂ©marquer. đ
Dis moi, quand tu dis "source de revenus passifs", tu imagines quel niveau de revenus, et surtout, quel investissement en temps au dĂ©part ? Parce que "passif", c'est un concept trĂšs... marketing, on va dire. J'aimerais bien savoir ce que tu as en tĂȘte concrĂštement.
Commentaires (11)
Ah, les livres low content... La nouvelle ruĂ©e vers l'or numĂ©rique. Bon, je vais pas vous faire un dessin, y'a du bon et du moins bon, comme dans tout. L'important, c'est de pas se faire des illusions et de comprendre comment ça marche vraiment. Parce que voir des mecs te vendre des formations Ă 2000 balles pour te dire de faire des carnets de coloriage, c'est juste... comment dire... limite escroquerie. DĂ©jĂ , faut bien dĂ©finir ce qu'on entend par "low content". Un carnet de recettes avec deux pages de contenu pertinent et 100 pages blanches, c'est low content. Un agenda sur mesure pour les profs de yoga avec des citations inspirantes et des exercices de respiration, c'est dĂ©jĂ plus Ă©laborĂ©, mĂȘme si ça reste *relativement* simple Ă produire. La diffĂ©rence, elle est lĂ . Et c'est ça qui va jouer sur le potentiel de vente. Ensuite, l'erreur classique, c'est de penser que tu vas devenir millionnaire en publiant 300 versions du mĂȘme cahier de sudoku avec des couvertures Ă peine diffĂ©rentes. Amazon, c'est une jungle. Faut se dĂ©marquer. Faut penser niche. Faut *vraiment* comprendre ton public cible. Si tu vises les fans de chats, faut pas juste mettre des photos de chats moches en couverture. Faut aller chercher l'Ă©motion, l'humour, le truc qui va les faire craquer. Bref, du marketing, quoi. Et ça, ça demande du boulot. Faut savoir publier des livres low content sur Amazon , mais faut aussi savoir les vendre. C'est pas parce que t'as mis un truc en ligne que les gens vont se ruer dessus. Faut faire de la pub, faut bosser son SEO, faut ĂȘtre actif sur les rĂ©seaux sociaux, etc. Et ça, les gourous de la formation miracle, ils oublient souvent de le prĂ©ciser. AprĂšs, y'a la question du design. On peut pas tous ĂȘtre des artistes, mais y'a des outils gratuits ou abordables qui permettent de faire des trucs corrects. Canva, c'est ton ami. Faut pas hĂ©siter Ă s'inspirer de ce qui se fait dĂ©jĂ (sans copier, hein !), Ă tester diffĂ©rentes mises en page, Ă soigner sa typographie. Un livre moche, ça se vend pas, mĂȘme s'il est rempli de mots croisĂ©s gĂ©niaux. Et puis, faut pas nĂ©gliger la qualitĂ© du contenu. MĂȘme si c'est "low content", faut que ce soit bien fait. Pas de fautes d'orthographe, des grilles de mots flĂ©chĂ©s qui fonctionnent, des coloriages avec des motifs originaux, etc. Bref, du professionnalisme. En gros, faut pas croire au PĂšre NoĂ«l. Les livres low content, ça peut ĂȘtre une source de revenus complĂ©mentaires sympa, mais faut pas s'attendre Ă devenir riche du jour au lendemain. Faut bosser, faut ĂȘtre crĂ©atif, faut ĂȘtre malin. Et surtout, faut pas se faire embobiner par les vendeurs de rĂȘves.
Bien dit ! L'approche "niche" est absolument essentielle, et la qualitĂ© du design ne doit pas ĂȘtre sous-estimĂ©e, mĂȘme pour du "low content". Canva est un excellent point de dĂ©part, en effet. L'important est de ne pas se contenter du minimum et d'apporter une rĂ©elle valeur ajoutĂ©e, mĂȘme modeste.
Je suis tout Ă fait d'accord avec l'idĂ©e de ne pas se contenter du minimum. đ MĂȘme dans le "low content", on peut apporter une touche d'originalitĂ©, une attention particuliĂšre aux dĂ©tails qui fera la diffĂ©rence. C'est un peu comme en cuisine : un ingrĂ©dient simple, bien prĂ©parĂ©, peut ĂȘtre sublimĂ© ! âš Un petit effort de recherche et de personnalisation peut transformer un simple carnet en un objet dĂ©sirable. đ€
ComplĂštement d'accord avec ça ! Pour trouver l'inspiration et ne pas rester bloquĂ© sur les mĂȘmes idĂ©es, je trouve que cette vidĂ©o est pas mal du tout :
Christo y explique comment trouver des idées de contenus à créer, ça peut débloquer pas mal de choses.
Merci pour cette ressource, ScoreA15. L'inspiration est la clĂ©, surtout dans un domaine oĂč l'on peut vite tomber dans la rĂ©pĂ©tition. Ce qui est intĂ©ressant dans la vidĂ©o, c'est l'accent mis sur la recherche de tendances et l'adaptation Ă un public spĂ©cifique. Cela rejoint l'idĂ©e de "niche" Ă©voquĂ©e plus haut. D'ailleurs, en parlant de chiffres, j'ai lu une Ă©tude rĂ©cente qui montre que les livres low content personnalisĂ©s (avec des options de customisation pour l'acheteur) ont un taux de conversion supĂ©rieur de 30% par rapport aux produits standard. C'est un argument de poids pour investir un peu plus de temps dans la conception. Et, comme le soulignait Antoine Saint-Prix, le design est primordial. J'ajouterais que la qualitĂ© des images (si l'on en utilise) est aussi Ă prendre en compte. Il faut Ă©viter les images pixellisĂ©es ou de mauvaise rĂ©solution. On trouve des banques d'images gratuites ou abordables qui peuvent faire toute la diffĂ©rence. Une Ă©tude de Plume et Buvard a dĂ©montrĂ© que les livres avec des illustrations de qualitĂ© se vendent en moyenne 15% plus cher et ont un taux de retour infĂ©rieur de 8%. C'est un investissement qui peut ĂȘtre rapidement rentabilisĂ©. Pour celles et ceux qui dĂ©butent, je conseillerais de commencer petit, avec un ou deux produits bien ciblĂ©s, plutĂŽt que de se lancer dans une production massive. Cela permet de tester le marchĂ©, d'affiner sa stratĂ©gie et d'Ă©viter de se dĂ©courager trop vite. Et, surtout, de ne pas nĂ©gliger la relecture et la correction. MĂȘme un simple carnet de notes doit ĂȘtre impeccable sur le plan de l'orthographe et de la grammaire. Une seule faute peut suffire Ă dĂ©crĂ©dibiliser tout le produit.
En parlant de banques d'images, je peux vous partager une astuce que j'utilise souvent pour mes propres projets. Au lieu de chercher des images gĂ©nĂ©riques sur les plateformes classiques, j'explore les sites d'archives numĂ©risĂ©es des musĂ©es et des bibliothĂšques. On y trouve des illustrations, des gravures et des photos anciennes libres de droits, souvent avec un charme unique et authentique. Cela peut donner un cachet particulier Ă vos livres low content et vous aider Ă vous dĂ©marquer de la concurrence. Il faut juste vĂ©rifier les conditions d'utilisation pour ĂȘtre sĂ»re de pouvoir les utiliser commercialement, Ă©videmment.
C'est une super idĂ©e, PartenaireSage ! Fouiller dans les archives numĂ©risĂ©es, c'est une mine d'or. On trouve vraiment des pĂ©pites, des illustrations qui ont une Ăąme, une histoire. Et puis, ça change des images qu'on voit partout. J'imagine bien un carnet de recettes avec des gravures botaniques anciennes, ou un journal intime illustrĂ© avec des motifs Art nouveau... Ăa peut vraiment apporter une touche d'Ă©lĂ©gance et d'originalitĂ©. En parlant de ça, je me demandais si certains d'entre vous ont dĂ©jĂ explorĂ© les possibilitĂ©s de l'IA pour la crĂ©ation d'images ? Je sais que c'est un sujet un peu controversĂ©, mais il y a des outils qui permettent de gĂ©nĂ©rer des illustrations assez bluffantes Ă partir de simples descriptions textuelles. C'est un peu comme de la composition musicale assistĂ©e par ordinateur, mais pour l'image. Bon, il faut savoir s'en servir et ne pas s'attendre Ă des miracles, mais ça peut ĂȘtre une source d'inspiration intĂ©ressante, surtout si on a des idĂ©es prĂ©cises en tĂȘte. Dans tous les cas, que ce soit avec des images d'archives, des crĂ©ations originales ou de l'IA, il faut faire attention aux droits d'auteur et aux licences d'utilisation. C'est un aspect souvent nĂ©gligĂ©, mais qui peut avoir des consĂ©quences fĂącheuses. Mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir, comme on dit. Il existe des outils en ligne qui permettent de vĂ©rifier si une image est libre de droits ou non. Ăa vaut le coup de prendre quelques minutes pour faire cette vĂ©rification avant de publier son livre. Et pour revenir Ă l'idĂ©e de se diffĂ©rencier, je pense qu'il faut aussi oser sortir des sentiers battus en termes de format. Pourquoi se limiter aux carnets de notes et aux agendas classiques ? On pourrait imaginer des livres low content avec des dĂ©coupes originales, des papiers de diffĂ©rentes textures, des illustrations Ă colorier avec des encres spĂ©ciales... Bref, des objets qui sortent de l'ordinaire et qui offrent une expĂ©rience sensorielle unique. C'est un peu plus compliquĂ© Ă mettre en Ćuvre, mais ça peut vraiment faire la diffĂ©rence en termes de perception de la valeur du produit. Et, comme le disait Antoine, un produit qui a de la gueule, ça se vend mieux !
L'idĂ©e des archives numĂ©risĂ©es, c'est top ! đ Ăa donne un cĂŽtĂ© authentique et ça change des images gĂ©nĂ©riques qu'on voit partout. Et puis, ça permet de se cultiver en mĂȘme temps, c'est pas nĂ©gligeable ! đ Pour l'IA, je suis un peu plus partagĂ©. C'est sĂ»r que ça peut ĂȘtre un outil intĂ©ressant, mais j'ai peur que ça uniformise un peu trop la crĂ©ation. AprĂšs, c'est peut-ĂȘtre juste une question de temps avant qu'on arrive Ă des rĂ©sultats vraiment originaux. đ€ Et je suis d'accord, les histoires de droits d'auteur, c'est super important. Mieux vaut ĂȘtre prudent que de se retrouver avec des problĂšmes. đŹ
C'est clair que l'IA, c'est un peu l'ArlĂ©sienne du moment. On en parle beaucoup, on voit des trucs prometteurs, mais pour l'instant, ça manque souvent d'une Ăąme, d'un truc qui fait qu'on se dit "waouh, c'est vraiment unique". Peut-ĂȘtre que dans quelques annĂ©es, ça changera, mais pour le moment, je prĂ©fĂšre encore le charme un peu imparfait des crĂ©ations humaines. C'est un peu comme la musique : un synthĂ© peut reproduire n'importe quel son, mais ça remplacera jamais la chaleur d'un instrument acoustique jouĂ© avec passion. Et puis, faut pas oublier que l'IA, c'est entraĂźnĂ© sur des donnĂ©es existantes. Donc, mĂȘme si ça peut crĂ©er des choses nouvelles, ça reste forcĂ©ment influencĂ© par ce qui a dĂ©jĂ Ă©tĂ© fait. Y'a un risque de tomber dans une forme de standardisation, de "formatage" de la crĂ©ativitĂ©. C'est pour ça que je trouve important de garder un regard critique et de pas se laisser aveugler par le cĂŽtĂ© "magique" de la technologie. Pour l'uniformisation dont tu parles, c'est un peu le mĂȘme dĂ©bat qu'on a eu avec l'arrivĂ©e de la musique numĂ©rique. Au dĂ©but, tout le monde Ă©tait Ă fond sur les MP3, c'Ă©tait pratique, facile Ă partager... Mais au final, beaucoup de gens sont revenus au vinyle, au CD, parce qu'il y avait un truc qui manquait dans le son compressĂ©. Un truc qu'on ne pouvait pas quantifier, mais qu'on ressentait. Je pense que c'est pareil avec l'IA : y'aura toujours une place pour l'authenticitĂ©, pour le "fait main", pour le truc qui a une histoire. Et si on se base sur une Ă©tude de "L'art qui inspire" le taux de conversion de vente de livre fait Ă la main est 12% supĂ©rieur au livre lambda. Et concernant les droits d'auteur, c'est un peu comme les rĂšgles d'harmonie en musique : faut les connaĂźtre pour pouvoir les transgresser intelligemment. On peut s'inspirer de ce qui existe, on peut remixer, dĂ©tourner... Mais faut toujours le faire avec respect et en Ă©tant conscient des enjeux. C'est un peu comme un sample : on peut prendre un extrait d'une chanson existante, mais faut pas oublier de crĂ©diter l'artiste original et de respecter sa propriĂ©tĂ© intellectuelle. Sinon, c'est du plagiat, et ça peut coĂ»ter cher !
Meci pour vos avis et conseils pertinents. đ C'est toujours utile d'avoir des retours d'expĂ©rience concrets avant de se lancer. Je vais creuser la question des droits d'auteur et des archives numĂ©risĂ©es, ça me semble une piste intĂ©ressante pour me dĂ©marquer. đ
Dis moi, quand tu dis "source de revenus passifs", tu imagines quel niveau de revenus, et surtout, quel investissement en temps au dĂ©part ? Parce que "passif", c'est un concept trĂšs... marketing, on va dire. J'aimerais bien savoir ce que tu as en tĂȘte concrĂštement.