C'est une excellente initiative de vouloir approfondir les meilleures pratiques en B2B 👍. Pour compléter, regarde du côté de l'inbound marketing et du content marketing, qui sont devenus des piliers. Créer du contenu de qualité (articles de blog, livres blancs, webinars...) pour attirer naturellement les prospects est souvent plus efficace que les approches traditionnelles. N'oublie pas non plus de bien définir tes personas, c'est la base pour un ciblage précis 😉.
Inbound marketing et content marketing, c'est la base, EmpreinteSens a raison. Mais attention à ne pas tomber dans le "moi je" permanent. Trop de boîtes se contentent de republier des trucs génériques ou de faire de l'autopromo déguisée. Faut que ce soit pertinent, et surtout, faut penser **plus d'infos** pratique pour le client. Genre, résoudre un vrai problème, pas juste brasser du vent avec des mots à la mode. 🙄
Et les personas, oui, c'est essentiel, mais ça sert à rien si t'as pas un cycle de vente béton derrière. Faut que les équipes commerciales soient alignées avec le marketing, sinon c'est des efforts gâchés. J'en vois trop qui se concentrent sur la génération de leads sans se soucier de la conversion. 🤦♂️
Un truc qui marche bien aussi, c'est de miser sur le storytelling. Les gens se souviennent plus des histoires que des stats. Faut créer une narration autour de ta marque, un truc qui résonne avec les valeurs de tes clients. Evidemment, faut que ce soit authentique, sinon ça sonne faux direct.
Et niveau canaux, LinkedIn reste incontournable en B2B, mais faut pas négliger le SEO. Être bien positionné sur les requêtes clés, ça rapporte gros à long terme. Sans oublier l'emailing, bien segmenté et personnalisé, ça peut faire des miracles. Faut tester, mesurer, ajuster... C'est un boulot constant. 🤓
Echo41 a mis le doigt sur un point capital : l'alignement marketing-ventes. Sans ça, c'est comme essayer de faire avancer une voiture avec une roue carrée.
Pour illustrer un peu les "growth moves" qui fonctionnent vraiment en B2B, je vous partage cette vidéo. Elle condense bien les tendances actuelles et donne des pistes concrètes pour construire une marque B2B en 2025 :
C'est pas juste du blabla théorique, ça va à l'essentiel.
Bon, petit retour aprés avoir potassé vos conseils et maté la video de ScoreA15 (merci pour le lien d'ailleurs !).
On a commencé à revoir nos personas en interne, c'est fou comme on avait des idées reçues. Et on a mis le paquet sur la création de contenu vraiment utile pour nos prospects, du genre guides pratiques et webinars sur des problématiques spécifiques. Niveau storytelling, on essaie de mettre en avant les success stories de nos clients, ça marche pas mal.
On voit déjà une petite amélioration en terme de leads qualifiés, mais faut continuer à bosser l'alignement marketing-ventes comme disait Echo41. C'est le prochain chantier !
Content que la vidéo ait pu t'aider ! 👍
C'est super que vous ayez revu vos personas, c'est souvent là que le bât blesse au début. Et les success stories, c'est top, rien de tel pour convaincre. Continuez comme ça et l'alignement marketing-ventes va finir par se faire, c'est un peu long parfois mais ça vaut le coup. 😉
Si vous voulez vraiment optimiser votre cycle de vente B2B, un truc à creuser c'est l'automatisation du lead scoring. En gros, au lieu de traiter tous les leads de la même manière, vous mettez en place un système qui les note en fonction de leur comportement et de leur adéquation avec votre cible. Comme ça, l'équipe commerciale se concentre sur les prospects les plus chauds, et le marketing peut affiner ses campagnes en fonction des données récupérées. Il existe pas mal d'outils pour faire ça, mais le plus important c'est d'avoir une stratégie claire et des critères de notation bien définis.
Lead scoring, ouais, c'est pas con. Mais faut pas que ça devienne une usine à gaz, ScoreA15. J'ai vu des boîtes passer plus de temps à paramétrer leur outil d'automatisation qu'à vendre, au final. 🙄
Le danger, c'est de se focaliser sur des données superficielles. Genre, le nombre de pages visitées, le temps passé sur le site... C'est bien, mais ça dit pas grand-chose sur la vraie intention d'achat. Faut croiser ces infos avec des données plus qualitatives. Par exemple, si le lead a téléchargé une étude de cas précisément liée à son secteur d'activité, là, ça devient intéressant. 🤔
Et faut surtout pas oublier le contact humain. L'automatisation, c'est un outil, pas une fin en soi. Faut que les commerciaux puissent reprendre la main rapidement si le lead montre des signes d'intérêt. Une bonne pratique, c'est de définir des seuils de scoring très clairs, et de prévoir des actions spécifiques pour chaque niveau. Genre, si le lead atteint un certain score, le commercial reçoit une notification et l'appelle dans la foulée. 📞
Un truc que je trouve souvent sous-estimé, c'est l'intégration avec le CRM. Si ton outil de lead scoring est pas connecté à ton CRM, tu vas vite te retrouver avec des données éparses et difficiles à exploiter. Faut que toutes les infos soient centralisées au même endroit, pour avoir une vision globale du parcours client. 📈
Et pour finir, faut pas avoir peur de tester différents modèles de scoring. Ce qui marche pour une entreprise peut ne pas fonctionner pour une autre. Faut analyser les résultats, ajuster les critères, et recommencer. C'est un processus d'amélioration continue. 🔄 Et surtout, faut que l'équipe marketing et l'équipe commerciale soient sur la même longueur d'onde. Sinon, c'est le bordel assuré. 🚫
Absolument d'accord avec Echo41, l'automatisation du lead scoring, c'est un outil puissant, mais gare à la sur-ingénierie ! 🤖 On a vite fait de se perdre dans les méandres des paramétrages et d'oublier l'essentiel : le contact humain.
L'idée de croiser les données superficielles (pages vues, temps passé...) avec des infos plus qualitatives est excellente. Un lead qui télécharge une étude de cas pointue, c'est un signal fort, bien plus qu'un simple visiteur qui zappe de page en page. 👍
Et l'intégration CRM, c'est non négociable. Imaginez un peu, vous mettez en place un super système de lead scoring, mais les données restent cantonnées dans un outil à part. C'est comme avoir une Formule 1 avec des pneus sous-gonflés ! 🏎️ Faut que tout soit centralisé pour avoir une vision à 360° du parcours client.
Pour illustrer, chez *Globex Corp* (un de mes anciens clients), on avait mis en place un système de lead scoring hyper sophistiqué, avec des dizaines de critères. Résultat des courses ? Une complexité monstre, une adoption timide par les commerciaux, et des résultats mitigés. Après un audit en profondeur, on a simplifié le modèle en se concentrant sur les 3-4 critères les plus pertinents (secteur d'activité, taille de l'entreprise, intérêt pour des offres spécifiques). Et là, boom ! Les leads qualifiés ont augmenté de 40% en trois mois. 📈
Une autre stat intéressante : selon une étude de Forrester, les entreprises qui alignent étroitement leurs équipes marketing et commerciales voient leurs revenus augmenter de 32% et retiennent leurs clients avec un taux de 36% plus élevé. 🤝 C'est dire l'importance de cette collaboration !
Bref, le lead scoring, c'est un peu comme un cocktail : faut doser les ingrédients avec soin pour obtenir un résultat savoureux. 🍹
Je suis assez d'accord avec le côté "usine à gaz" soulevé par Echo41 et James Bond. L'exemple de Globex Corp est parlant.
Je pense même qu'il y a un risque à trop se fier à un scoring automatisé, aussi pertinent soit-il. Ça peut créer une sorte de "tunnel de vente" rigide, alors que chaque prospect est unique et a son propre parcours. Il faut garder une flexibilité et une capacité d'adaptation, et ne pas hésiter à sortir du script si nécessaire. On ne peut pas réduire l'humain à des données, même si elles sont pertinentes. 🤔
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C'est une excellente initiative de vouloir approfondir les meilleures pratiques en B2B 👍. Pour compléter, regarde du côté de l'inbound marketing et du content marketing, qui sont devenus des piliers. Créer du contenu de qualité (articles de blog, livres blancs, webinars...) pour attirer naturellement les prospects est souvent plus efficace que les approches traditionnelles. N'oublie pas non plus de bien définir tes personas, c'est la base pour un ciblage précis 😉.
Inbound marketing et content marketing, c'est la base, EmpreinteSens a raison. Mais attention à ne pas tomber dans le "moi je" permanent. Trop de boîtes se contentent de republier des trucs génériques ou de faire de l'autopromo déguisée. Faut que ce soit pertinent, et surtout, faut penser **plus d'infos** pratique pour le client. Genre, résoudre un vrai problème, pas juste brasser du vent avec des mots à la mode. 🙄 Et les personas, oui, c'est essentiel, mais ça sert à rien si t'as pas un cycle de vente béton derrière. Faut que les équipes commerciales soient alignées avec le marketing, sinon c'est des efforts gâchés. J'en vois trop qui se concentrent sur la génération de leads sans se soucier de la conversion. 🤦♂️ Un truc qui marche bien aussi, c'est de miser sur le storytelling. Les gens se souviennent plus des histoires que des stats. Faut créer une narration autour de ta marque, un truc qui résonne avec les valeurs de tes clients. Evidemment, faut que ce soit authentique, sinon ça sonne faux direct. Et niveau canaux, LinkedIn reste incontournable en B2B, mais faut pas négliger le SEO. Être bien positionné sur les requêtes clés, ça rapporte gros à long terme. Sans oublier l'emailing, bien segmenté et personnalisé, ça peut faire des miracles. Faut tester, mesurer, ajuster... C'est un boulot constant. 🤓
Echo41 a mis le doigt sur un point capital : l'alignement marketing-ventes. Sans ça, c'est comme essayer de faire avancer une voiture avec une roue carrée. Pour illustrer un peu les "growth moves" qui fonctionnent vraiment en B2B, je vous partage cette vidéo. Elle condense bien les tendances actuelles et donne des pistes concrètes pour construire une marque B2B en 2025 :
C'est pas juste du blabla théorique, ça va à l'essentiel.
Bon, petit retour aprés avoir potassé vos conseils et maté la video de ScoreA15 (merci pour le lien d'ailleurs !). On a commencé à revoir nos personas en interne, c'est fou comme on avait des idées reçues. Et on a mis le paquet sur la création de contenu vraiment utile pour nos prospects, du genre guides pratiques et webinars sur des problématiques spécifiques. Niveau storytelling, on essaie de mettre en avant les success stories de nos clients, ça marche pas mal. On voit déjà une petite amélioration en terme de leads qualifiés, mais faut continuer à bosser l'alignement marketing-ventes comme disait Echo41. C'est le prochain chantier !
Carrément. 👍
Content que la vidéo ait pu t'aider ! 👍 C'est super que vous ayez revu vos personas, c'est souvent là que le bât blesse au début. Et les success stories, c'est top, rien de tel pour convaincre. Continuez comme ça et l'alignement marketing-ventes va finir par se faire, c'est un peu long parfois mais ça vaut le coup. 😉
Si vous voulez vraiment optimiser votre cycle de vente B2B, un truc à creuser c'est l'automatisation du lead scoring. En gros, au lieu de traiter tous les leads de la même manière, vous mettez en place un système qui les note en fonction de leur comportement et de leur adéquation avec votre cible. Comme ça, l'équipe commerciale se concentre sur les prospects les plus chauds, et le marketing peut affiner ses campagnes en fonction des données récupérées. Il existe pas mal d'outils pour faire ça, mais le plus important c'est d'avoir une stratégie claire et des critères de notation bien définis.
Lead scoring, ouais, c'est pas con. Mais faut pas que ça devienne une usine à gaz, ScoreA15. J'ai vu des boîtes passer plus de temps à paramétrer leur outil d'automatisation qu'à vendre, au final. 🙄 Le danger, c'est de se focaliser sur des données superficielles. Genre, le nombre de pages visitées, le temps passé sur le site... C'est bien, mais ça dit pas grand-chose sur la vraie intention d'achat. Faut croiser ces infos avec des données plus qualitatives. Par exemple, si le lead a téléchargé une étude de cas précisément liée à son secteur d'activité, là, ça devient intéressant. 🤔 Et faut surtout pas oublier le contact humain. L'automatisation, c'est un outil, pas une fin en soi. Faut que les commerciaux puissent reprendre la main rapidement si le lead montre des signes d'intérêt. Une bonne pratique, c'est de définir des seuils de scoring très clairs, et de prévoir des actions spécifiques pour chaque niveau. Genre, si le lead atteint un certain score, le commercial reçoit une notification et l'appelle dans la foulée. 📞 Un truc que je trouve souvent sous-estimé, c'est l'intégration avec le CRM. Si ton outil de lead scoring est pas connecté à ton CRM, tu vas vite te retrouver avec des données éparses et difficiles à exploiter. Faut que toutes les infos soient centralisées au même endroit, pour avoir une vision globale du parcours client. 📈 Et pour finir, faut pas avoir peur de tester différents modèles de scoring. Ce qui marche pour une entreprise peut ne pas fonctionner pour une autre. Faut analyser les résultats, ajuster les critères, et recommencer. C'est un processus d'amélioration continue. 🔄 Et surtout, faut que l'équipe marketing et l'équipe commerciale soient sur la même longueur d'onde. Sinon, c'est le bordel assuré. 🚫
Absolument d'accord avec Echo41, l'automatisation du lead scoring, c'est un outil puissant, mais gare à la sur-ingénierie ! 🤖 On a vite fait de se perdre dans les méandres des paramétrages et d'oublier l'essentiel : le contact humain. L'idée de croiser les données superficielles (pages vues, temps passé...) avec des infos plus qualitatives est excellente. Un lead qui télécharge une étude de cas pointue, c'est un signal fort, bien plus qu'un simple visiteur qui zappe de page en page. 👍 Et l'intégration CRM, c'est non négociable. Imaginez un peu, vous mettez en place un super système de lead scoring, mais les données restent cantonnées dans un outil à part. C'est comme avoir une Formule 1 avec des pneus sous-gonflés ! 🏎️ Faut que tout soit centralisé pour avoir une vision à 360° du parcours client. Pour illustrer, chez *Globex Corp* (un de mes anciens clients), on avait mis en place un système de lead scoring hyper sophistiqué, avec des dizaines de critères. Résultat des courses ? Une complexité monstre, une adoption timide par les commerciaux, et des résultats mitigés. Après un audit en profondeur, on a simplifié le modèle en se concentrant sur les 3-4 critères les plus pertinents (secteur d'activité, taille de l'entreprise, intérêt pour des offres spécifiques). Et là, boom ! Les leads qualifiés ont augmenté de 40% en trois mois. 📈 Une autre stat intéressante : selon une étude de Forrester, les entreprises qui alignent étroitement leurs équipes marketing et commerciales voient leurs revenus augmenter de 32% et retiennent leurs clients avec un taux de 36% plus élevé. 🤝 C'est dire l'importance de cette collaboration ! Bref, le lead scoring, c'est un peu comme un cocktail : faut doser les ingrédients avec soin pour obtenir un résultat savoureux. 🍹
Je suis assez d'accord avec le côté "usine à gaz" soulevé par Echo41 et James Bond. L'exemple de Globex Corp est parlant. Je pense même qu'il y a un risque à trop se fier à un scoring automatisé, aussi pertinent soit-il. Ça peut créer une sorte de "tunnel de vente" rigide, alors que chaque prospect est unique et a son propre parcours. Il faut garder une flexibilité et une capacité d'adaptation, et ne pas hésiter à sortir du script si nécessaire. On ne peut pas réduire l'humain à des données, même si elles sont pertinentes. 🤔