Si je résume, on est partis de l'importance de bien identifier les besoins en formation dans l'hôtellerie, en liant ça aux objectifs de l'entreprise. Ensuite, on a parlé de simulations (avec un bémol sur le côté "théâtre"), d'auto-enregistrement, et de l'importance de mesurer l'impact de la formation avec des indicateurs concrets. On a fini par aborder les outils d'analyse des verbatims clients, en soulignant que l'humain reste indispensable, surtout dans le luxe.
Concernant le contenu, je suis d'accord. L'expertise, c'est un excellent vecteur. Mais je pense qu'il y a aussi un travail sur l'expérience utilisateur. Un site web bien conçu, une navigation intuitive, un service client réactif... tout ça contribue à créer une relation positive, même si elle est virtuelle.
Pour récapituler, on a identifié plusieurs pistes pour expliquer cette baisse de trafic : la saisonnalité en Australie (l'hiver qui arrive), les potentielles expérimentations de Google au Canada, et les mises à jour discrètes de l'algorithme. On a aussi parlé de l'évolution des SERP (featured snippets, etc.) et de son impact possible sur le CTR.
Je rejoins ScoreA15 sur le besoin de comprendre les chiffres. 7% d'augmentation, c'est une chose, mais l'impact réel sur leur budget, c'en est une autre. Il faut aussi se demander si cette augmentation est justifiée par des améliorations apportées au logement ou à l'immeuble. Si c'est juste pour "rattraper" le marché, ça peut être perçu comme moins acceptable.
La remise de 3% sur 6 mois, c'était une bonne intention, mais peut-être pas assez incitative. Psychologiquement, les gens réagissent plus à une "perte" qu'à un "gain". Donc, ils ont peut-être plus ressenti l'augmentation de 4% (même temporaire) que l'avantage de la remise. Une approche différente aurait pu être de proposer une remise plus importante au début (par exemple, 5 ou 6%) pendant une période plus courte (3 mois), puis l'augmentation totale de 7%. Cela aurait créé un effet "waouh" plus fort et facilité l'acceptation.
Concernant le retrait de la remise, légalement, tu es probablement dans ton droit, SlamDunkPro. Mais en termes de relation client, c'est risqué. Comme le soulignait Djellouli46, un locataire mécontent, c'est du turnover, et le turnover coûte cher. Selon certaines études, le coût de remplacement d'un locataire peut représenter jusqu'à deux mois de loyer (frais de recherche, de remise en état, etc.). Donc, avant de prendre une décision définitive, calcule bien le coût/bénéfice de chaque option. Parfois, il vaut mieux un petit arrangement qu'un long procès... ou un logement vide.
C'est vrai que le paysage SEO change vite ! Pour compléter ta question, je trouve cette vidéo assez bien faite, elle présente 10 outils qui peuvent aider pas mal :
Ça donne une bonne base, après faut tester et voir ce qui correspond le mieux à ses besoins, bien sûr.